# Crise covid-19 — Ce qu’il faut savoir… et quelques réflexions <p style="text-align: right;font-style:oblique">! <a data-href="Food for thought" href="https://legerement-serieux.ch/Fiches/PsychoPhilo/Food+for+thought" class="internal-link" target="_blank" rel="noopener">Food for thought</a> !</p> > Les discussions enflammées basées sur des données erronées ou incomplètes sont pénibles, car elles ne sont alors que des confrontations fanatiques. Je les abhorre et je refuse de m’y livrer. &emsp; Voici quelques données de bases à connaître et dont il faut tenir compte dans toute discussion, toute prise de position et tout débat autour de ladite crise. * Le virus provoquant la maladie dite *covid-19* est appelé SARS-CoV-2. Il fait partie de la famille des [*coronavirus*](https://fr.wikipedia.org/wiki/Coronavirus). En tant que tel, il partage des caractéristiques avec les virus causant la grippe — les [*Orthomyxoviridés*](https://fr.wikipedia.org/wiki/Orthomyxoviridae) —, virus auxquels nous sommes confrontés tous les hivers et dont on connaît fort bien les caractéristiques biologiques, les modes de transmissions, l’épidémiologie, etc. * Comme pour les virus de la grippe: * La transmission interhumaine du virus est essentiellement respiratoire, via des gouttelettes riches en virus provenant de la toux et des éternuements des sujets infectés. Quant à la transmission par la simple phonation, elle est plutôt faible. * La structure moléculaire du virus varie naturellement et en l’espace de quelques semaines — ce sont les fameux variants. En ce qui concerne les virus de la grippe, on sait depuis de nombreuses années… * que les vaccins que l’on administre au début de la saison des grippes ne sont que partiellement efficaces, puisqu’ils sont basés sur la structure des virus de la saison précédente ; * que, plus on avance dans la saison de la grippe, plus les virus mutent et moins les vaccins sont efficaces. Et remarquez que l’on parle ici de *vrais vaccins* — constitués de virus atténués ou morts. Il n’est pas forcément étonnant que les [[des vaccins — Vraiment…|soi-disant vaccins]] que l’on injecte à la population ne soient pas meilleurs. * Les meilleures mesures pour diminuer la contamination et la dissémination des virus respiratoires sont, dans l’ordre: * le lavage soigneux des mains avec une solution alcoolisée ; * le lavage soigneux des mains avec du savon ; * l’aération des locaux ; * la distanciation physique. * Une fois que ces mesures sont pratiquées correctement par tous, le port des masques est inutile, de nombreuses études scientifiques le démontrent. Voyez [cette page](https://www.covidhub.ch/plus-de-400-etudes-demontrent-lechec-des-mesures-de-contrainte-contre-le-covid/) (recherchez la chaîne “Inefficacité du masque (Mask Ineffectiveness)”). * Et quand ces mesures de base ne sont pas pratiquées correctement, imposer le port du masque n’apporte rien de plus, car les personnes qui ne respectent pas les mesures de base, ne portent pas non plus correctement le masque, ne le changent pas, le touchent et souillent leurs doigts de concentrés de virus et de bactéries, les répandant partout. * Par conséquent, imposer le port des masques est plus délétère qu’utile. * Je ne me prononce pas quant au fait qu’il puisse, en plus, favoriser d’autres formes d’infections respiratoires — pneumonies et sinusites. Je dirais que c’est fort possible. * Le masque occasionne une gêne aux personnes qui doivent le porter toute la journée sans interruption — les vend·eurs·euses, les travailleurs et travailleuses dans les *open spaces*, les enseignant·e·s, etc. À cause de cette gêne, la plupart de ces personnes le portent mal et c’est ainsi que le masque devient une simple *muselière*. Et un nid à microbes que les gens transfèrent ensuite sur leurs mains quand ils touchent leur masque, puis sur tous les objets qu’ils touchent. Plus contre-productif que ça, on ne fait pas ! * Je trouve que les effets psychologiques sont énormes, à cause de l’appauvrissement du langage non verbal: plus de sourires, plus de moues approbatrices ou complices, plus de petits regards complices, etc. Je vous laisse voir ce qu’en dit, [ici par exemple](https://www.lefigaro.fr/vox/societe/il-faut-urgemment-mettre-fin-au-port-du-masque-pour-les-enfants-20210525?fbclid=IwAR3kVCj2oJozo3TqCjGT1UYtDDEIoL2fmxNbANUlTJLoGfoxIaJiGsJZOjo), la psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont — ses arguments me paraissent percutants et convainquants. * Et les effets symboliques : « se masquer », c’est se cacher, se fermer. « Avancer masqué », c’est être hypocrite, voire malhonnête. Le mensonge avance *masqué*, la vérité est *démasquée*. Etc. * Je souligne et je surligne le fait que ==ce que les gouvernements, les médias et toutes sortes d’ignares ou de manipulateurs appellent aujourd’hui *vaccins contre la covid-19* **ne sont pas** des vaccins traditionnels==, comme ceux que l’on utilisait et connaissait depuis plus de 200 ans contre la variole, la poliomyélite, le typhus, le tétanos, la coqueluche, etc. Ce sont des **thérapies géniques** et ces thérapies n’ont encore jamais été ni utilisées à grande échelle ni validées scientifiquement. L’emploi de ces produits constitue donc une **expérience scientifique** et toutes les personnes à qui l’on injecte ces produits sont *de facto* des cobayes  ^[Le mot « cobaye » désigne par extension un sujet d'expérience pour la recherche médicale.] de l’expérience. Les contrats signés entre les firmes pharmaceutiques et les états — en tout cas les contrats que l’on connaît — l’attestent : les firmes se défaussent des responsabilités qui, en principe, devrait leur incomber.  ^[Exemples de telles clauses : « L’Acheteur reconnaît que le vaccin et les matériaux relatifs au vaccin, ainsi que ses composants et matériaux constitutifs, sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie de COVID-19 \[…\] L’Acheteur reconnaît en outre que l’efficacité et les effets à long terme du vaccin ne sont pas encore connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus. »] * Si l’expérience est convenablement conduite, elle devrait, à terme, permettre de déterminer: * quels sont les avantages de la thérapie génique contre la *covid-19* ; * quels sont les inconvénients de cette thérapie génique ; * en particulier : quels sont les effets secondaires graves ou moins graves de cette thérapie ; et ceci, pour toutes les catégories de personnes: * pour tous les groupes d’âge ; * pour tous les sexes — les effets secondaires ne sont pas forcément les mêmes chez les femmes et chez les hommes ; * pour les personnes en bonne santé habituelle ; * pour les personnes à risques de faire une version compliquée de la maladie que l’on veut prévenir ; * pour les personnes avec des pathologies préexistantes, en particulier  * les maladies tumorales bénignes et les cancers * les maladies auto-immunes (sclérose en plaques, lupus, polyarthrites…) * les pathologies cardio-vasculaires * les maladies neurologiques * les maladies chroniques comme le diabète, les hépatites, etc. * Il faudra, en plus, vérifier *au long cours* — c’est-à-dire au long des mois et des années, vu la nature de la thérapie en question — que cette thérapie génique * ne favorise pas l’apparition ou l’aggravation des maladies évoquées ci-dessus ; * ne rend pas les patients plus sensibles aux autres agents infectieux, car il est fort possible — aujourd’hui on peut même dire *fort probable* — que cette thérapie génique affaiblisse globalement le système immunitaire ; * ne favorise pas la propagation des agents infectieux, vu l’affaiblissement du système immunitaire des personnes « traitées ». * Voyez [[ce qui ne me plaît pas autour de la crise covid-19|ici, ce qui est dit]] autour du consentement libre et éclairé, qui paraissait un acquis dans notre société. Hélas, il est bafoué. Plus grave encore : c’est le [Code de Nuremberg](https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg#Les_expériences_médicales_acceptables) qui est carrément bafoué. Et le **pire du pire** : certains politiciens envisagent de dénoncer la signature des accords entérinant ce Code. Ce qui permettrait de continuer à faire à grande échelle ce qui apparaît de plus en plus comme une monstruosité : injecter des produits douteux à des personnes à qui on ne laisse pas le choix. ### À propos du *pass* dit « sanitaire » Ce qu’il faut savoir : quand une personne s’est fait injecter le médicament de la thérapie génique, * cela ne l’empêche pas de contracter, transporter et diffuser les virus ; * cela ne l’empêche pas de contracter la maladie ; * cela ne l’empêche même pas de faire une forme grave de la maladie — cela diminue, tout au plus, les risques ; mais pas autant qu’on voudrait le croire ou nous le faire croire, car la proportion de patients « injectés » et « non-injectés » aux soins intensifs avoisine aujourd’hui les 50 / 50. De plus, il est même extrêmement vraisemblable que les personnes « injectées » deviennent de *meilleurs propagateurs* de SARS-CoV-2, vu l’affaiblissement de leur système immunitaire et le fait que celui-ci devient *de plus en plus sélectif* de certains agents infectieux, laissant ainsi le champ libre aux autres. À partir de là, quelle logique y a-t-il à *séparer physiquement* les personnes « qui ont reçu l’injection » de « celles qui ne l’ont pas reçue » ? Médicalement et scientifiquement, il n’y en a **aucune** ! Quand, en plus, on laisse les personnes « injectées » être dispensées — ou s’auto-dispenser — des *gestes barrières* efficaces comme le lavage des mains et la distanciation physique, qu’on les laisse s’agglomérer dans des locaux mal ventilés, on *favorise* la propagation des virus. Sur un plan purement **sanitaire** et de **santé publique**, le *pass sanitaire* est donc une mesure non seulement inutile, mais même **contre-productive**. Ce *pass sanitaire* n’est donc ni plus ni moins qu’une *ségrégation* des individus basée sur le fait qu’ils se sont soumis ou pas à une injection d’un produit expérimental — c’est toujours son statut à ce jour, le 25 décembre 2021. À toutes fins utiles, voici la définition de la *ségrégation*: > Séparation stricte et réglementée des personnes appartenant à un groupe social (défini par la classe, le groupe ethnique, etc.) dans la vie publique. Il est intéressant de savoir que la *ségrégation* est un [*crime d’Apartheid*](https://fr.wikipedia.org/wiki/Crime_d%27apartheid), assimilable à un *crime contre l’humanité*, passible de jugement par le *Tribunal Pénal International*. On peut s’attendre à de retentissants procès dans quelques années. ### Comment se présente le choix de se laisser injecter ou pas Une décision sensée doit être prise en se basant sur une connaissance * des avantages, * des inconvénients et * des risques de chaque option. Voici comment se présentent les choses aujourd’hui. &emsp; #### 1. Se laisser injecter le médicament génique <br>**Avantages** * Diminue **possiblement** la probabilité de faire une forme grave de la *covid-19*. * En fait, c’est vrai pour les personnes de plus de 65 ans et avec des facteurs de risque. Plus la personne est âgée et plus elle a de facteurs de risques, plus c’est vrai. * Pour les personnes de moins de 60 ans et en bonne santé, c’est l’inverse qui est vrai : plus la personne est jeune plus *ça ne change strictement rien*, vu que la probabilité de faire une forme *grave* de la maladie est de toute façon faible. * Pour les enfants et les jeunes, l’injection n’apporte aucun bénéfice scientifiquement démontré. * Donne droit au *pass sanitaire*. **Inconvénients et risques** * Effets secondaires peu graves — libre à chacun de considérer si c’est un inconvénient ou pas. * Effets secondaires graves — là, on est bien obligé de considérer que ce sont des inconvénients. Une petite liste, de loin pas exhaustive ^[Pour être édifiés, voyez donc le [rapport Pfizer](https://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=14472) qu’un juge américain les a obligé à rendre public.] : * troubles neurologiques, allant de la paralysie ou parésie temporaire de parties du corps (un bras, une jambe, une hémiface) à des paralysies de plus longues durées ; * des vertiges — ce sont également des troubles neurologiques ; * des maladies cardio-vasculaires, allant de simples thromboses aux embolies pulmonaires, aux endocardites, myocardites et aux accidents vasculaires cérébraux ; * décès, secondaires principalement à des infarctus ; quand cela arrive chez des personnes de moins de 40 ans, ce n’est absolument pas banal. L’importance des risques n’est scientifiquement pas encore établie de manière certaine, principalement pour trois raisons: * le sous-rapportage des effets secondaires — la croyance en l’innocuité des injections (on est dans le *wishful thinking*) est si grande, même chez des professionnels de la santé — que le lien entre l’injection et les effets secondaires n’est pas fait ou est nié ; * il est avéré que des données sont falsifiées, y compris au début de la chaîne : quand on veut cacher les effets secondaires de l’injection, on déclare que le patient — ou le décédé — n’*a pas reçu* d’injection ; * certains effets secondaires n’apparaîtront, statistiquement, qu’au long des années sous la forme d’une * possible augmentation* de la prévalence et de l’incidence de certaines pathologies et de l’augmentation — ou non — de la mortalité ; ces effets-là, on ne peut évidemment pas les connaître aujourd’hui. On ne peut que les redouter. ^[En fait, au printemps déjà, on pouvait les redouter. Aujourd’hui, on commence à avoir des indices qui vont dans le sens de « il vaudrait mieux s’y préparer ».] #### Ne pas se laisser injecter le médicament génique <br>**Avantages** * Par rapport à la maladie *covid-19*, il n’y a pas forcément un *avantage*. Mais au minimum, c’est neutre ; on garde son *risque naturel* de tomber plus ou moins sérieusement malade. * S’il devait s’avérer que les injections géniques, en particulier à la suite de la répétition des injections, *fragilisaient* les personnes — et cela semble de plus en plus être le cas —, ne pas avoir reçu d’injection deviendrait un avantage, puisqu’on garderait le risque *naturel*. * De même, ne pas s’exposer aux risques de complications directes et indirectes liées aux injections, que ce soit les complications à court, moyen ou long terme, ça doit être considéré comme un avantage. **Inconvénients et risques** * Sur le plan de la santé, il n’y a absolument *aucun inconvénient* à ne pas subir d’injection génique ; d’autant plus que ces injections n’offrent aucune garantie quant au fait de ne pas tomber malade et à peine une diminution des risques de passer par les soins intensifs. * En revanche, il y a de grands inconvénients sur le plan social, puisque *ne pas se laisser injecter*, c’est entrer *de facto* dans une catégorie de citoyens visés par une ségrégation : * interdiction de se rendre dans les cafés, les bistrots, les restaurants ; * exclusion des musées et autres lieux de culture ; * exclusion des fitness, salles de sport, cours de yoga et autres activités en groupe, telles que les chorales, les ensembles instrumentaux, le théâtre, etc. ; * exclusion des événements sociaux et culturels — même des cérémonies religieuses et des rites funéraires ; * exclusion de l’éducation, puisque les universités et les hautes écoles se ferment aux personnes *non injectées* ; * interdiction de rendre visite à des proches dans les hôpitaux, les cliniques, les foyers et les homes ; * restriction de l’accès au travail — parfois du fait même des autorités, parfois avec leur complicité, vu la tolérance des autorités face à des critères d’embauches clairement discriminatoires ; * exposition à des mouvements d’humeur hostiles : accusés de maux qu’ils n’ont pas commis, objets de méfiance, d’ostracisme (dans les cercles sociaux et jusque dans les familles) et de haine. Cela ne vous rappelle pas quelque chose ? &emsp; ### Bilan de la balance « avantages / inconvénients » des injections Sur le plan purement médical et scientifique, ce qu’on peut dire aujourd’hui, c’est que pour *une personne donnée*, les inconvénients l’**emportent largement** sur les avantages. Plus précisément : * Pour les enfants et les jeunes, il n’y a *strictement aucun* bénéfice en termes de santé. En revanche il y a un risque non négligeable d’effets secondaires plus ou moins graves, allant jusqu’à la mort prématurée. * Pour les adultes en bonne santé habituelle, les bénéfices en termes de santé ne sont pas évidents. Certes, chez certaines personnes, la *covid-19* est une maladie pénible. Certes, il existe ce que l’on appelle le *covid long*. Mais ce n’est rien en comparaison d’une maladie neurologique grave chronique, d’une embolie pulmonaire ou d’un accident vasculaire cérébral. Sans parler de la fragilisation du système immunitaire qui ouvre la voie à toutes sortes d’infections opportunistes et même à de possibles cancers quelques années après les injections. * Même un passage aux soins intensifs, même de quelques semaines, ce n’est qu’un *passage* justement. Dans nos pays à haute technologie médicale, on a les moyens de soigner et sauver la plupart des patients. Sinon, à quoi servent les soins intensifs ? * C’est pour les personnes avec des *facteurs de risques* et d’autant plus qu’elles sont âgées — au-delà de 65 ans — que la balance *avantages / inconvénients* des injections géniques est en faveur de l’injection. Pour *personne d’autre*. ### Autres points éminemment suspects * Les médecins, qui ont en principe le **devoir d’informer** leurs patients sur les avantages et inconvénients des procédures médicales, reçoivent l’**ordre** de *diffuser une doctrine unique* : « faites vous injecter » — ou de ne rien dire du tout. * Les médecins qui, en principe, ont un libre arbitre concernant la prescription des traitements pour les malades ont, en ce qui concerne la *covid-19*, l’**interdiction** de prescrire  ^[Sous peine de perdre carrément son droit de pratique !] certains médicaments potentiellement efficaces : l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Sachant que ces médicaments ne sont pas dangereux — en tout cas pas plus que les injections géniques — et pas chers — infiniment moins que les injections géniques — on peut se demander la raison de cette interdiction. Ça ne peut pas être parce que ces médicaments ne sont pas efficaces, car on pourrait tout aussi bien interdire les sirops contre la toux ou les bonbons contre les maux de gorge. Jusqu’à aujourd’hui, aucun médecin n’a risqué son droit de pratique en prescrivant un médicament inefficace. Alors, pourquoi cette interdiction ? * De même, les pharmaciens ont reçu l’interdiction de vendre de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Ou alors seulement à des clients qui peuvent *prouver* que *ce n’est pas pour soigner une covid-19* ! Vous parlez d’une absurdité. * Face à cette interdiction tant de vendre que de prescrire des médicaments potentiellement utiles pour soigner la *covid-19*, on ne peut pas ne pas penser que si l’on voulait augmenter le nombre de malades, en particulier le nombre de malades *graves*, on ne s’y prendrait pas autrement. * Pourquoi gonfler le nombre de malades graves ? Je vous laisse faire vos propres hypothèses. Je vous assure qu’il n’y a pas besoin d’aller voir des sites complotistes pour en trouver, des hypothèses. Pensez comme un enquêteur dans une affaire criminelle : à qui profite le crime ? Car c’en est bien un. ### Au final * L’insistance des autorités à imposer un *pass sanitaire* questionne et inquiète. Est-ce qu’à terme, ce *pass* sera aussi nécessaire pour accéder à des services de base tels que l’accès aux magasins généraux, au commerce en ligne, à l’internet donc à l’information, comme il l’est déjà pour l’accès à la culture et à l’éducation *en live* ? J’espère que non. Mais je n’en jurerais pas, vu ce qui est déjà en place. * Quant à l’insistance des autorités à vouloir que *tout le monde se fasse piquer et injecter* ces thérapies géniques, au mépris des considérations épidémiologiques, scientifiques et médicales, elle questionne et elle inquiète encore plus. La plus *douce* des hypothèses, c’est que l'état doit écouler les doses qu’il a achetées. Mais d’un autre côté, on a déjà, par le passé, détruit des munitions et d’autres réserves non employées. Alors, pourquoi ? * De plus, le fait de vouloir *injecter le produit à tout le monde*, c’est un non-sens sur le plan scientifique, tant qu’on est encore à la phase expérimentale d’un nouveau traitement. En effet, pour juger de l’efficacité d’un traitement, les bonnes pratiques scientifiques demandent à ce que l’on compare « le groupe de personnes ayant reçu le traitement » au « groupe de ceux qui n’ont pas reçu le traitement » ^[Ce devrait être, de plus, en double aveugle ; mais nous n’épiloguerons pas là-dessus]. Alors, si tout le monde a reçu le « traitement », comment savoir si celui-ci est bénéfique, neutre, ou néfaste ? Par rapport à la maladie en elle-même, on ne pourra rien dire ! On ne pourra pas départager les camps du « c’est efficace » et du « c’est inefficace », faute de groupe témoin ; ce sera à celui qui criera le plus fort ou convaincra le plus de monde. Et par rapport aux effets négatifs du « traitement », on en sera réduit aux études statistiques : il faudra comparer la prévalence et l’incidence de toutes les maladies *après les injections* avec leur prévalence et leur incidence *avant les injections*. On entend déjà les deux camps se jeter à la figure l’argument « aux statistiques, on fait dire ce qu’on veut ! » Et cela prendra des années. Entretemps, les dégâts — si dégâts il y a — auront été faits. * Une chose que l’on peut d’ores et déjà dire, sans attendre le jugement de l’histoire, c’est que, dans cette crise dite de la *covid-19*, la science aura été foulée au pied et totalement bafouée. * On peut en dire tout autant de l’éthique médicale et de la morale sociétale, puisque les conditions du *consentement éclairé* des personnes à qui l’on injecte les produits géniques ne sont pas remplies. * Une autre ligne rouge a été franchie : l’expérimentation médicale sur les jeunes et les enfants. Jusque là, il y avait une barrière morale et éthique : concernant les antidépresseurs, par exemple, on n’avait pas de données cliniques validées concernant les personnes de moins de 18 ans. ^[Pour vous en convaincre, allez donc consulter au sujet de ces médicaments les sites officiels tels que *compendium.ch*. ] * Si le silence des scientifiques eux-mêmes est aussi assourdissant, c’est que leur voix est censurée ! Car vous ne croyez tout de même pas que les scientifiques peuvent observer cela sans rien dire, n’est-ce pas ? La vérité est que * Certains scientifiques se taisent par peur — c’est le cas des médecins qui craignent pour leur droit de pratique ou pour leur emploi à l’hôpital, par exemple. * Certains scientifiques donnent des conférences et font des vidéos — mais beaucoup de ces vidéos et leurs messages sont promptement effacés des sites *mainstream* tels que *YouTube*, *FaceBook* ou *Twitter* ; de plus, elles ne sont pas reprises dans les grands médias généralistes. * Certains scientifiques écrivent des lettres aux gouvernements, écrivent et signent des pétitions — certaines de ces pétitions ont eu des milliers de signatures, y compris de Prix Nobel, y compris de personnes ayant participé au développement des thérapies géniques. Mais ces pétitions ne trouvent aucun écho dans la « grande presse » et font, jusqu’à ce jour, autant d’effets que des coups d'épée dans l’eau. &emsp; &emsp; Signé : <p style="text-align: center; font-style: italic;">Un citoyen qui réfléchit,<br> se documente <br>et s’y connaît un peu en médecine.<br></p> <p style="text-align: center;"><a href="https://dr-spinnler.ch"><img src="https://dr-spinnler.ch/myfiles/logos/Olivier-Spinnler.png" class= "signature"/></a>~~&ensp;Le 25 décembre 2021.&ensp;~~</p> &emsp; &emsp;