# Ce qui ne me plaît pas, autour de la crise dite de la *covid-19* Depuis une génération environ, on considérait comme indispensable que les patients donnent un consentement *libre et éclairé* aux actes médicaux pratiqués sur eux. Il y avait une surveillance par des commissions d’éthique. Ce consentement était demandé explicitement * pour la participation à des expériences médicales ; * pour les actes médicaux invasifs, en particulier quand ces actes comportaient des risques — je pense aux angiographies, par exemple ; * pour les actes chirurgicaux. En ce qui concerne la prise de médicament et les vaccinations, le « poids du consentement » pesait sur le médecin qui avait le *devoir* d’informer le patient des risques potentiels des médicaments qu’il prescrivait et le patient donnait son consentement implicitement en allant chercher le médicament à la pharmacie puis en le prenant. En ce qui concerne les injections géniques contre la covid-19, on a foulé et on continue de fouler au pied ce principe du consentement *libre et éclairé*. En effet: On a mis — et on met encore — une pression de plus en plus grande sur les personnes afin qu’elles se laissent injecter les produits en question. Prétendre que le choix reste « libre » est un sophisme, voire une malhonnêteté intellectuelle, quand les personnes * risquent de perdre leur emploi ; * risquent de ne plus trouver d’emploi à cause de restrictions mises par les employeurs potentiels — qui deviennent *de facto* complices du bafouement du principe du choix *libre et éclairé* ; * risquent de ne plus avoir accès à des biens de société tels que les spectacles, les musées, les rassemblements publics, les manifestations sociales, les restaurants et les cafés ; dans certains pays, on a déjà commencé à limiter l’accès à des « magasins non essentiels » pour les personnes « non injectées » — ou bien on l’envisage sérieusement (en Allemagne) ; * risquent de perdre même l’accès aux aides sociales ; * se trouvent restreintes et discriminées même dans l’accès aux soins médicaux considérés comme normaux et basiques ; * risquent de se retrouver, en cas de test positif, internés dans des « camps de personnes contagieuses » — ça se pratique déjà en Australie. Quant au versant *éclairé* du contentement, on en est très, très loin : * On laisse croire largement que ces injections géniques sont des *vaccins traditionnels*, or ce n’en sont pas. On est donc face à une *manipulation* des personnes à qui on « propose » les injections. Il faut bien mettre « propose » entre guillemets, vu ce qui vient d’être exposé. * Pour être *éclairé*, le choix devrait pouvoir se baser sur les *avantages* et les *inconvénients* du produit injecté. Or * Les avantages sont largement *surestimés*, vu que la seule chose que l’on puisse dire avec quelque peu de crédibilité, c’est que les injections « protégeraient des formes graves » de la maladie. En fait, c’est aussi un sophisme que de dire que cela « protège » ; en vérité, ce serait plutôt « l’injection diminue les risques » de faire une forme grave de la covid-19. Dans quelle mesure ? Aujourd’hui, le 14.12.2021, on ne peut pas le dire avec certitude. * Quant aux inconvénients, ils sont **très largement sous-estimés** et carrément *passés sous silence* : * ils ne sont pas dits aux personnes ; * ils ne sont pas publiés dans la presse générale ni mentionnés à la radio ou à la télévision ; * quand quelqu’un, même un épidémiologiste, un médecin ou un biologiste, etc. les évoque, il est rapidement censuré — je parlerai ailleurs de la censure. * Tant le gouvernement, dans sa communication officielle, que les médias généraux ne disent *absolument rien* sur les effets indésirables des injections. Sans aller jusqu’à le dire carrément, ils laissent clairement entendre qu’« il n’y en a pas ». Ce qui non seulement n’est pas crédible, mais en plus parfaitement faux ! * On peut trouver des décomptes des effets secondaires, mais il faut se livrer à un fastidieux travail de recherche. * De toute façon, le plus édifiant, c’est ce que *Pfizer* savait déjà au printemps 2021, mais a soigneusement tenu caché, jusqu’à ce qu’un juge américain les oblige à le divulguer. Je vous laisse prendre connaissance de [cette page](https://www.covidhub.ch/pfizer-un-document-declassifie-revele-cent-nouveaux-types-deffets-secondaires/) et du [rapport lui-même](https://www.covidhub.ch/wp-content/uploads/2021/12/Rapport-Pfizer.pdf) — PDF téléchargeable. En résumé, qu’avons-nous ? * Un produit à injecter qui n’est pas un vaccin, mais une thérapie génique à ARN messager. * Il y a 9 mois, on ignorait tout des effets indésirables possibles de ce produit, car il n’avait jamais été utilisé à grande échelle. On était au début de l’expérimentation. Il était donc malhonnête de dire « nous savons que c’est sans danger ». * Aujourd’hui, on sait que ce produit peut avoir des effets secondaires extrêmement graves et chez un nombre non négligeable de personnes. Des médicaments bien plus utiles ont été retirés du commerce à cause d’effets secondaires insignifiants en comparaison de ceux du produit en question. * Comme, de plus, ce produit * n’empêche pas les personnes injectées de contracter la maladie ; * même des formes graves ; * n’empêche pas les personnes injectées de transporter les virus ; * La balance coûts-bénéfices, pour les individus, est extrêmement défavorable. * Elle est particulièrement défavorable pour les enfants et les jeunes. Je parlerais de décence, de morale et d’éthique à la fois humaine et médicale et je dirais qu’on SE DOIT de laisser aux personnes le libre choix de prendre les risques liés à l’injection — ou plutôt **aux** injection**s** — ou à l’exposition aux virus. Or qu’est-ce qui se passe dans notre société ? * Certains employeurs pratiquent déjà une discrimination à l’embauche ou en cours d’emploi, refusant la possibilité de travailler à ceux qui ne se sont pas laissé injecter le produit. * L’état — les autorités nationales, cantonales, communales — met une pression énorme sur les citoyens pour qu’ils se fassent injecter le produit en question. On est à deux doigts de l’obligation et certains responsables politiques souhaitent déjà l’introduction de cette obligation. Je suis d’accord avec ceux qui disent que c’est **MONSTRUEUX** ! Par rapport aux risques encourus suite aux injections, je pense qu’on doit être à peu près au même niveau que si on obligeait tout le monde à fumer un paquet de cigarettes par jour. Ou à consommer deux litres de vin. Je vais regarder dans les statistiques médicales et je reviendrai avec des chiffres plus précis. Il y a encore beaucoup d’autres choses qui ne me plaisent pas, autour de cette crise « covid-19 ». Je continuerai d’en parler, mais je tiens à publier d’ores et déjà ce simple billet. &emsp; <p style="text-align: center;"><a href="https://dr-spinnler.ch"><img src="https://dr-spinnler.ch/myfiles/logos/Logo-Dr.png" class= "signature"/></a></p> <p style="text-align: center; font-style: italic;">le 14 décembre 2021 </p> &emsp; ---------------------------------------------- [[crise Covid-19 — ce qu’il faut savoir… et quelques réflexions]] #société