# Exemples de conneries
> [!note]+ Remarque liminaire
> Avant de considérer ce qui suit comme des *jugements à l’emporte-pièce* et avant de vous dire que l’auteur est un con, veuillez vous référer à la [[à propos de la connerie|fiche théorique au sujet de la connerie]]. Vous verrez que vous pourrez facilement rattacher les exemples donnés à l’un des trois premiers types de connerie.
> Après, si vous n’êtes simplement pas d’accord, vous aurez en effet le droit de penser que celui qui énonce ces « jugements » est un con. Mais ce faisant, vous entrerez dans la catégorie du **type IV**. À bon entendeur.
### Le mépris, la suffisance
Non, le monde n’est pas rempli de personnes stupides, ignorantes, malhonnêtes, égoïstes, etc. Certes, il y en a, mais il y a aussi beaucoup de personnes intelligentes, cultivées, honnêtes, altruistes, etc. Alors celui qui pense être au-dessus de tout le monde et le seul de son espèce, celui qui se drape dans sa suffisance est un con.
### Le non-intérêt, l’indifférence entre parents et enfants
Il est tout à fait normal de ne pas aimer — au sens d’*apprécier*, comme au sens de *avoir de l’affection pour* — quelqu’un qu’on ne connaît pas. Mais quand un père ou une mère ne s’intéresse pas à un de ses enfants ou le méprise, on est dans quelque chose de pas naturel et cela occasionne de la souffrance chez l’enfant.
L’inverse est tout aussi vrai : quand un jeune se désintéresse complètement de ses parents et ne veut plus les voir alors que ces parents ont été aimants et suffisamment bons, ce n’est pas naturel et il est normal que les parents en souffrent.
Dans les deux cas, on a affaire à des cons ou des connes.
 
<p style="text-align: center; font-style: italic;">~~ Olivier Spinnler, le 11.11.2022
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